Gloria Sanctus et Benedictus
je dédis ces quelques phrases aux (gros) sujet s il en est un ,de pathologie schizophrénique virtuelle.
cette forme concernant (les gros) se caracterise par une inhibition de l activité mentale soit ici par un repli sur soi ,les gros comme centre du monde.
apparition de fantasmes delirants ou hallucinatoires:ex.la multiplications des gros,discutions entre gros .alors qu il s agit d un seul et même personnage.le tout accompagné d une discordance mentale qui aboutit comme nous l avons observé au bouleversement de la personnalité avec des réactions inappropriées.j entends par la :
délire sur les sujets des autres
creation d un language : le flood
soit une réponse discordante à l entourage.
repli sur soi avec manifestation du délire :le flood(exemple 4 pages de flood)ce qui les empêche de prendre conscience de l existence d autrui
apparition d un syndrome dissociatif .multiplication des gros s accompagne, il va sans dire ,d une angoisse terrible.
abscence de la réalite. mais il est vrai que nous sommes sur le virtuel.
je vais m arrêter là, car de toutes facons, les gros ne sont pas capables de reconnaître cet état.
le psychotique virtuel n est ,en général ,pas conscient de sa maladie .seul les névrotiques s en rendent compte.
mais, les gros, rien n est perdu.il est sûrement encore temps de réagir,du moins je l espère.
la dingue.
Commentaires
En plus ils sont tous debannis pour revenir hanter ton CDC et alimenter ainsi ta parano:)
Mais tu as raison, il faudrait tous les enfermer.
Le Gros Schizo aux 200 personnalites.
P.S. Tiens au fait, on n'a pas de "le gros psy" ni de "le gros Térapeuthe", faudrait que j'y pense.
monsieur le gros phd.
la gloire je ne sais pas.mais si cela vous a fait plaisir tant mieux.je vous signale que cela n est pas mon cdc pas plus que le votre et que la parano j en fais mon affaire.pour la question de l enfermement vous pouvez vous adresser a dr gros.bien amicalement la dingue
Le gros mot du Gros président
Notre association a cette caractéristique particulière de réunir des GROS, c’est-à-dire des Gros Trolls, des Gros Schyzophrènes, des Gros Psychologues, des Gros Pourris et d’autres Gros Professionnels du flood qui viennent en aide à des personnes au comportement virtuellement addictif.
De ce fait, nous ne floodons pas pour des statistiques et notre objectif n’est pas de faire tomber des records à coups de gros kilos octets, de nombre de posts... Notre objectif n’est pas davantage de rendre conformes des vérités vrais. Nous ne prenons pas non plus en charge des grosses maladies, qu’il s’agisse de grosse shyzophrénie ou de gros narcissisme, de floodmania nervosa ou de Big fating disorders.
Nous avons à faire avec des personnes véritables, en difficulté avec leur Gros Moi ou leur comportement social. Ces difficultés particulières s’inscrivent dans un cadre plus général: l’individu qui vient chercher de l’aide auprès de forums et de blogs a une histoire et ses difficultés ont un sens qu’il convient de prendre en considération, faute de quoi la relation qui s’établit entre le Gros thérapeute et son Gros patient prend un tour violent et insensé.
Faute de savoir ce que signifie être un Gros pour la personne qui nous fait face, nous ne pouvons qu’exercer sur elle — souvent à sa demande — une violence.
Il est si facile de présupposer qu’un admin est mieux qu’un flooder, que modérer fait forcément le bonheur… Notre chance, encore une fois, est d’être des Gros. Nos patients, si nous avons l’humilité nécessaire pour les écouter, se chargent de nous détromper. Ils sont nombreux, ceux qui ont perdu leur avatar sans pour autant aller mieux, voire en allant plus mal. La solution triviale qu’ils mettent fréquemment en œuvre afin de ne pas sombrer dans le flood consiste à reprendre le fil perdu. À nous de ne pas les entretenir dans une histoire répétitive…
Le surflood et les gros troubles du comportement virtuel s’inscrivent aussi dans un cadre social : l’excès de posts insignifiants fait aujourd’hui l’objet d’un ostracisme qui a pris des proportions sidérantes. D’un point de vue sociologique, psychologique ou philosophique, il est bienvenu de s’interroger sur les significations d’un phénomène social d’une telle ampleur, mais en ce qui concerne nos gros patients, on ne peut que prendre acte du fait qu’à la souffrance somatique s’ajoutent celles, encore plus terribles, de la marginalisation et de la culpabilisation.
Les remèdes proposés, bien souvent, aggravent le mal: les bannissements favorisent la restriction cognitive et les troubles du comportement linguistique. L'effacçage répétitifs des posts engendrent la perte de l’estime de soi et la dépression.
Notre grosse association regroupe, et c’est sans doute ce qui fait son originalité, des gros praticiens de sensibilité différente : certains conceptualisent leur grosse pratique à partir de l’héritage du gros freud, d’autres se sentent plus à leur aise avec les grosses méthodologies cognitives et comportementales, d’autres encore prennent directement en considération ce qui fait problème, la liberté de Frise.
Tous, nous sommes bien conscients que les problèmes de nos gros patients dépassent largement le cadre de la modération 'a fortiori'. De même, les progrès de l'administration des forums resteront des leurres dangereux s’ils sont préconisés sur un mode magique, s’ils servent à instrumentaliser les personnes en demande de grosse reconnaissance, s’ils sont considérés comme autre chose que des outils au service de la grosse communauté.
Tous, nous tâchons, dans la mesure de nos moyens, de faire œuvre de Gros thérapeutes, d’aider nos Gros patients dans leur Grosse complexité. Nous n’y parvenons pas toujours et c’est bien pourquoi nous ressentons le besoin de nous former, de nous reproduire, de ne pas trop réfléchir, d’apprendre à mieux comprendre les trolls, à faire pire.
Les GROS se proposent d’être ce lieu de réflexion, de formation permanente afin que chacun puisse améliorer ses pratiques du flood. Nous en avons tous besoin.
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Dr Gros Troll, Président-fondateur du GROS mouvement